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dimanche 5 février 2017

Origines du totalitarisme, un commentaire (p. 604)


 Fiche de lecture / recension


Il y a quelque temps j’ai rédigé sur ce blog des notes pour une recension du livre d’Emmanuel Faye (sur Arendt et Heidegger), dans lesquelles je relevais notamment qu’il faudrait aller plus loin dans l’analyse du livre avec des fiches détaillées en partant du texte d’Arendt. En voici un première à propos d’un point de désaccord portant sur l’utilisation d’un extrait d’Origines du Totalitarisme :


samedi 26 novembre 2016

Et si pas maintenant, quand ? Arendt et Heidegger, par Emmanuel Faye

Notes pour une recension

Emmanuel Faye, Arendt et Heidegger. Extermination nazie et destruction de la pensée, Albin Michel, 2016


Les notes préliminaires à un travail de recension que l’on va trouver ci-dessous, ont constitué la base de mon intervention à l’émission radiophonique de Michel Gheude (« Et si pas maintenant, quand ? », du CCLJ (Centre Communautaire Laïc Juif David Susskind) sur Radio Judaïca (90.2 FM) à Bruxelles le 17 novembre 2016). Si vous souhaitez comparer le texte avec le podcast, celui-ci est disponible à l’adresse suivante, à partir de la minute 47’20’’ jusqu’à la fin :

samedi 24 septembre 2016

Hannah Arendt et la pensée du Droit (I)

« Et, puisque pouvoir et liberté sont en fait synonymes à l’échelon de la pluralité humaine, il s’ensuite que la liberté politique est toujours limitée. »

Hannah Arendt, La vie de l’esprit (II. Le vouloir), PUF coll. Quadrige, 1981, 2014, p. 524


« Tout homme qui s’ingénie à être supérieur aux autres êtres animés doit faire un suprême effort afin de ne point passer sa vie sans faire parler de lui, comme il arrive aux bêtes, façonnées par la nature à regarder la terre et à s’asservir à leur ventre. Au contraire, chez nous autres hommes, la puissance d’action réside à la fois dans l’âme et dans le corps : à l’âme nous réservons de préférence l’autorité, au corps l’obéissance : l’une nous est commune avec les dieux, l’autre avec les bêtes. Aussi, me paraît-il plus juste de chercher la gloire en faisant appel à l’âme plus qu’au corps, et, puisque la vie même dont nous jouissons est brève, de faire durer le plus possible le souvenir qu’on gardera de nous. Car la gloire qui vient de la richesse et de la beauté est mobile et fragile, mais la vertu demeure glorieuse et éternelle. »

Salluste, Conjuration de Catilina, GF-Flammarion, p. 29





Le texte suivant est la version abrégée, pour le blog, d’une recension à paraître dans le numéro de Juin 2017 de la Revue interdisciplinaire d’études juridiques (Université Saint-Louis – Bruxelles)